A l'aventure compagnon! [pv Diancecht]

Je devais mater une insurrection. Le sénat impériale gauloise dans les terres romaines. Le Sénat Impériale m'y avait envoyé avec une petite légion. Nous approchions du village. Nos catapultes se placèrent sur une colline de manière à avoir la meilleure vision possible. Une forêt nous séparait de notre objectif. Nous établîmes notre campement. Au petit matin, nos archers préparait leurs arcs et nos soldats aiguisaient leurs glaives, puis se mettaient en ligne pour la première offensive. Alors que nous traversions la forêt, des flèches vinrent transpercés nos premières ligne.
Une attaque!!
Alors que nous nous mettions en position de défense, les flèches arrêtèrent de tomber et un homme s'avança alors, il avait l'air d'être le chef.

Mai qu'est-ce que c'etai que ce bordel ?! On avait meme plus le droit de faire la grace mat chez soi dans son village, sans etre enmerdé par ses voisins ?! L'autre baltringue en armure avait intérêt à avoir une bonne raison d'etre là... non, je ne devai pas commencer a le traîter de baltringue, sinon l'affaire allait mal tourner... un petit jeune en armure (lui aussi) voulu me faire comprendre, avec des gestes (il me prend vraimen pour un crétin illétré ou quoi ?) que je ne pouvais approcher son chef ainsi armé. Je lui répondi en grec d'aller voir en haut du grand chêne si j'y étai et continuai a avancer tranquilemen vers ce qui semblai etre le chef du groupe.
"- Quesque vous foutez tous là ?"

Il était mal poli mais je devais essayer d'être pacifiste.
On nous a annoncer que vous prépariez une rébellion. Nous sommes venus la mater.
Il me regardait bizarrement comme prêt à rigoler. Je mettais la main sur le pommeau de mon glaive, on ne sait jamais avec ces barbares.

Mater une rébellion ?! Je dus me retenir pour ne pa exploser de rire, ces gens là étaient succeptibles, mieux valait ne pa les vexer. Cependant, le romain du se vexer quan même car il porta la main à son glaive. Ses hommes voulurent l'imiter mais ils en furent bien vite dissuadés par une flèche d'un de mes hommes et qui atteris entre les soldats et moi. Je leur fis un grand sourire moqueur, puis repris la parole, adoptant un ton aussi pompeux que mon interlocuteur :
"Il n'y a nulle rébellion ici, simplement un village d'honnêtes gens qui eussent aimé dormir un peu en cette belle matinée d'Automne"

Alors pourquoi toutes ces armes? Où est l'émissaire que nous avions envoyés? J'était sur qu'il se moquait de moi. Il se prenait pour qui, il a qu'à aller porter ses menhirs au lieu de nous faire chi.........

Comme il était prévisible !!! Le soldat moyen.
"Si nous vous accueuillons avec nos armes, c'est parce que vous venez avec les votres. Regardez vous, vous avez même amené des catapultes !! Revenez sans armes, en diplomates et je me ferai un plaisir de vous accueuillir avec une choppe de cervoise tiède. Quant à votre émissaire, il n'est jamais arrivé jusqu'ici il s'est sans doute perdu en chemin"
Et cela était parfaitement vrai, cela me surprenais, il faudrais que je me renseigne pour savoir pourquoi un émissaire grec s'était volatilisé dans la forêt gaulloise. Néanmoins, je n'en montrais rien à mon interlocuteur.
"Je veille personnellement à ce que la région qui dépend de mon village soit sûre zuelle que soit la nationnalité de celui qui la traverse, mais certains chefs sont plus négligents que moi..."

Quelque chose me disait qu'il disait la vérité.Alors discutons! Vous préférez votre village ou ma tente? Je plantai mon glaive au sol et ordonna au soldats de poser les armes et de rompre les rangs.

Il était peut-etre moins borné que ce que je pensais. En voyant ses hommes baisser leurs armes, je fit signe au miens de faire pareil puis regardais a nouveaux le chef des grecs :
"- Je prefere ne pas utiliser ta tente, et ne peux pas t'imposer mon village, alors je te propose d'aller marcher en foret, ainsi, aucun membre de nos camps respectif animé de mauvaises intentions ne pourra nous retrouver."

Je n'aimais pas trop l'idée d'être dans la forêt, surtout que j'étais dans un pays étranger, ils étaient dans leurs éléments. Une embuscade était facilement réalisable. Mais j'ai accepté. Nous marchions depuis une bonne heure, discutant de tout et de rien. Et alors que nous allions aborder le sujet de la paix en Gaule, un cri se fit entendre. Nous arrivâmes à mon campement où les Gaulois et mes hommes s'étaient retranchés. Mais le spectacle que nous avions sous les yeux, nous inspira qu'horreur et damnation. Tout brulé, nos hommes massacrés, des têtes étaient plantés sur des piques. Un mourant me dis que c'était des hommes qui semblaient venir de l'Est qui les avaient attaqués. Les survivants aussi bien gaulois, que grecs se rassemblèrent sur la grande place, nous vîmes, les assaillants s'enfuir. Avec Diancecht, le chef gaulois, nous voulions venger nos morts et les poursuivre.
En avant! Tous y compris les gaulois me suivirent.

Lorsque nous revînmes au camp, tous nos hommes avaient étés massacrés... la rage se mit à bouilloner au fond de moi : mais qu'est-ce que c'était que ce bordel, d'abord des grecs qui attaquaient avant l'aubes et maintenant des barbares de l'est qui venaient jusqu'en armorique pour massacrer les guerriers d'un petit village ? C'était du grand n'importe quoi !! Apres cela, e n'aurais pas été surpris le moins du monde si une troupe d'amazones avient débarqué pur faire rôtir ce qui restait de nos compagnons. Aussitôt, Androcles et moi-même souhaitâmes poursuivre la troupe. Tout mon être aspirait à la vengeance, mais je me ravisais rapidement, c'eût été stupide... je retins Androclès et nous rassemblâmes les corps et les brulâmes comme il se devait. Ensuite je passais au village et embarquait des provisions pour une courses à travers la campagne de plusieurs jours et enfilait une tenue de voyage. Je pris aussi quelques poignards et une petite réserve de poisons en tous genre, pour le cas où les barbares soient trop nombreux pour que nous les tuions tous dans un affrontement direct. Ainsi prêt, je ma tournait vers mon nouvel alliè :
"Plus rien ne nous retiens ici pour l'instant. Nos hommes sont morts, mais il est encore une chose que nous pouvons faire pour eux, les vengers et ainsi laver notre propre honneur de ne pas avoir su veiller sur eux. Si tu es prêt, allons y !!"

Baston!!!!! Je pris quelque survivant avec moi, et nous avions récupéré tous les vivres nécessaire à cette course poursuite à travers l'Empire. A priori ils allaient vers l'Est, normal, c'était des Huns. Nous étions rapide, mais pas assez. Les Huns avaient des capacités physiques hors du commun. Nous étions néanmoins arrivés en pleine forêt, nous avions rattrapé nos adversaires qui mangeaient un peu avant de reprendre le voyage. Il faisait nuit. Je fis un signe à Diancecht pour voir comment on allais nous organiser.

Je m'approchais de lui, mais j'etais inquiet... Quelque chose clochait, les huns etaient de grands voyageurs, nous n'aurions pas du les rattrapper aussi facilement et aussi rapidement... Quelque chose avait du les pousser a s'arreter... nous avaient-ils reperrés ? Non impossible, nous avions ete particulierement discrets...je fis part de mes inquietude a Androcles, mais il ne les partageait pas...
"De toute facon, enchainai-je, noue ne pouvons les attaquer ce soir, alors freine ton envie de baston. Nous devons les étudier, observer s'ils postent des guetteurs et combien, quelles sont leurs habitude, etc... nous sommes trop peu nombreux pour les attaquer de front..."

Mais! Il était pas drôle ce gaulois! Il aimait pas la baston! Mais qu'il aille se pendre, moi je suis pas une mauviette! Je m'appreta à aller attaquer les Huns quand je vis l'un des ennemis tué un cerf d'un coup de poing, là mon envie de les massacrer s'arreta. Je me tournai vers Diancecht en disant: Bon et donc on fait quoi?