Demande de mercenaires 1 [terminé]

Je compte bien leur faire tâter de mon épée! Les deux ennemis en face de moi se jetèrent sur moi. Ne pouvant compter sur ma force physique à cause de mes blessures, je du trouver une ruse pour les abattre.
Je me mis contre le mur qui me retenais auparavant, et, au dernier moment, j'esquiva le coup, et j'arrêta le coup de l'assaillant avec les chaines qui me retenaient avant. Je réussis à désarmer l’ennemi, et je l'attacha avec les menottes. Le deuxième fonçais vers moi, mais d'un signe de la main je l'arrêta. Ne comprenant pas ce qu'il se passe, le soldat s'arrêta avec un regard bêta. D'un geste vif, je pointa mon doigt dans le dos du mercenaire. Il se retourna, et j'en profita pour l'estoquer. Il ne restait que l’ennemi que j'avais attaché. Je lui dis:
Tu à provoqué mon courroux!Je ne te laisserais pas t'en sortir indemne!
Il me répondit:
Pitié ne me tuez pas! Je regrette!
Je rétorqua alors:
Il est déjà trop tard, toquard! Qu'importe tes regrets, ton destin est scellé!
Après l'avoir torturé, je le laissa quasi mort, attaché contre le mur. Je me tourna vers le coffre, et je l'ouvris. Pendant l'ouverture, j'entendais les bruit d'un combat sur le toit. Je vis alors du sang couler le long de la fenêtre...

L'enfoi...!J'était distrait par les cris de douleur qui venaient du bas et il en avait profité pour me frapper au ventre. Je me relevai péniblement, et l'attaqua. L’assaillant fis trois pas en arrière et para mon coup. Le choc fut rude. L’affrontement arrivait alors à son terme.
J'ai perdus trop de temps avec toi, préparer toi à connaître douleur et damnation!L'estocade d'Arès!! Prenant à la volée ma deuxième épée( c'est ça la classe) restée au sol, je lui asséna un coup dans la mâchoire, le trancha avec une extrême fureur, la cicatrice formait un énorme X sur sa poitrine en sang. Cette technique était l'une de préférée même si j'en avait encore tous un dictionnaire de technique dans le même style, mais je pouvait encore progresser. Maintenant, je devais retourner voir Absalom, je regardai vers le bas et ne vit pas Reivax. Je revins dans la maison, acheva le pauvre romain torturé et courus avec Absalom vers la chambre du maître de toute cette organisation: le dénommé Phorxys au main d'argent dont le nom m'avait été révélé par le soldat que j'avais tué sur le toit. Ce nom me paraissait plutôt sur dimensionné, mais quand nous arrivâmes dans la chambre, nous vîmes Reivax ensanglanté qui combattait avec cet homme mais à la place des mains, il avait de gigantesques épées. Et c'est alors que je me rapella d'un homme très recherché, dont la récompense était de plus de 2000 drachmes qui était un fameux épéiste. Le combat allait être intéressant.
Attention! Cet homme a déjà détruit plusieurs navires grecques d'un coup d'épée et battus plusieurs légions à lui tout seul!
Tout les trois nous nous élanciâmes sur lui. D'un coup, il nous envoya tous au tapis. Reivax déjà faible se releva durement, Absalom se remettait peu à peu de sa torture, je ne savait pas comment il réussissait à tenir, surement l'envie de vengeance. Je l'attaqua, mauvaise technique inconsciente, j'eu le droit à un coup dans la poitrine qui me coupa le souffle et me mis par terre. L'homme leva son épée et frappa, mon heure avait sonné, j'eu juste le temps de voir une ombre bondir et placer son épée devant la sienne, c'était celle d'Absalom. Reivax bondit lui aussi sur l'homme qui ayant deux mains se battit contre les deux barbares en même temps. Avec mon souffle coupé, je ne pouvais même pas me lever. Je me rendit ensuite compte que ma poitrine saignait, j'était entaillé. Je fois rapidement un bandage avec ma cape et attaqua à mon tour. Il se retourna et je vis un aigle d'or sur sa poitrine, cet aigle signifiait que si on le tuait, on serait recherché par la milice romaine, remarque au point ou en est. Des avis de recherches sur nous on en aura partout et il fait dire que cet perspective m'amusait. Vu la force et la puissance de notre homme qui était en fait un bandit au service de l'Empire, d'une prime de 2000drachmes, l'un de nous allait surement avoir une prime un peu supérieur, et les deux autres pas loin de lui. Mais encore faut-il réussir à le battre et c'était loin d'être gagné!

Le battre ? Nous n'en doutions pas! Nous avons continué nos offensives avec plus de hargne qu'un ogre qui se bats pour un saucisson! Néanmoins, nous étions en permanence repoussé par le bonhomme qui semblait imbattable! Il nous fallait trouver une ruse ... Une bonne stratégie d'attaque Hun qui fait la renommée de notre glorieux peuple! Nous étions trois tout de même! Les échanges se firent de plus en plus violent, et l'homme continuait de se battre sans montrer un signe de fatigue quelconque.
"Tu vas enfin mourir oui!" criais-je.
Il me blessa au flanc, et je me mis à saigner. C'est alors que je dis aux autres:
"Fuyez!"
Et je partis sur le champs dans une pièce voisine dont la porte pouvait être verrouillée. Nous complotâmes pour trouver un plan adapté au gaillard. Pendant ce temps, lui frappais hystériquement la porte pour la défoncer. Une fois notre plan mis au point, nous attendîmes que l'homme ait détruit la porte. A ce moment même, Reivax se rua sur lui...

Il lui porta un coup à la tête et le fit tomber. Seulement il se dépêcha de se relever pour ne pas être en position de faiblesse. Avec Absalom, je me jeta sur lui et nous lui enfonçâmes nos épées dans l'abdomen. Il tituba et s'écroula sur le sol déjà couvert de sang. Nous prenâmes l'objet d'Absalom plus toutes les richesses que nous pûmes trouver. Une fois dehors, nous devions nous séparer. Seulement, le goût de l'aventure était trop fort et je ne pus m'empécher d'appeler Absalom avant qu'il ne parte:
Veut tu tenter une nouvelle aventure?
Il réfléchit. Reivax quant à lui était déjà loin, peut être le croiserions nous dans nos prochaines quêtes, en tout cas ce sera avec grand plaisir.

Hum? Le grec me propose une nouvelle aventure... Je n'avais rien à faire, et la vie chez les barbares m'ennuyais ferme. Puis pour réaliser mes ambitions secrètes il me fallait plus d'expérience. Je répondis:
Je m'ennuie chez moi. Je ne vois aucune raison de ne pas continuer l'aventure avec toi. De toutes façon j'ai envie de combattre plus, de gagner de l'argent et de rencontrer des gens plus forts. Puis si je continue à semer le désordre dans le monde romain, ma prime va augmenter. J'ai hâte de devenir le meilleur voleur du monde ... Hahaha! En attendant petit grec, allons boire à notre réussite!
Sur ce, nous partîmes en direction d'une ville proche. Sur le chemin nous rencontrâmes quelques animaux sauvages et des brigands plus faibles les uns que les autres.
Quel plaie... vivement une vrai aventure qu'on se dégourdisse un peu!dis-je en arrivant à la ville.
Quand soudain, nous entendîmes un bruit qui provenait de la grand place du village...

[FIN DU RP]