Quand une fête tourne mal...[Pv Absalom]

Nous étions deux assis dans l'auberge. Nous buvions à notre grande réussite, lorsqu'un homme vint à notre table et essaya de voler la bourse d'Absalom furtivement. Le voleur barbare se leva et envoya valser son confrère voleur de naissance également à l'autre bout de l'auberge. Les amis du malheureux se levèrent et prirent leurs épées.
Voilà qui va mettre de l'ambiance à cette petite fête!C'était n'importe quoi, il y avait du sang partout, le patron nous regardait d'un air horrifié avant qu'il n'appelle la garde. Ce que nous ignorions c'est que ces hommes que nous étions en train de combattre seraient la source d'une nouvelle aventure pleines de surprises et de malheurs.

Déjà de l'action. C'est ce qu'il nous fallait pour nous divertir! Les ennemis se jetèrent tous sur moi, car c'était moi qui avait entamé les hostilités, jusqu'à ce qu'Androclès s'en mêle. Ainsi j'esquivai sans la moindre difficulté tous leurs assauts. Manque de technique, et surtout d’expérience. Ils n'étaient vraiment pas à la hauteur. Comme celui qui j'avais frappé. Je leur dis donc:
Hum? Des faibles comme vous s'en prennent à moi? Ai-je l'air si faible pour que du menu fretin ose s'attaquer à moi?
Sur ces paroles, je frappa un des hommes au visage et il s'envola comme le premier. Le deuxième qui demeura imperturbable m'attaqua de son épée. J'esquivai encore une fois et lui attrapa la gorge que je serra de toute mes forces. C'est alors que je me rendis compte que les deux que j'avais envoyé voler s'étaient relevé et se jetaient vers Androclès. Comment des voleurs aussi pathétiques ont pu se relever après mon coup? Je n'étais surement pas une force de la nature comme certains Huns incroyablement forts, mais quand même! En tout cas c'était maintenant à Androclès de riposter...

Ils se jetèrent sur moi. J'esquivais bien jusqu'à maintenant, seulement alors que je me battais contre l'un d'entre eux, le deuxième vint me poignarder dans le dos. Un cri s'échappai de ma bouche d'où le sang s'échappait surement à cause d'une hémoragie interne. Je tua les deux mais nous dûmes partir après le massacre de l'auberge. Et c'est alors que les gardes vinrent nous arréter. Même si nous ne contions pas nous laisser faire , ils étaient trop nombreux et nous ne pouvions rien faire. Et c'est ainsi que Absalom et moi nous nous sommes retrouvés enchaînés dans un cachot, attendant une audience avec le chef du territoire.

Pendant qu'Androclès pansait ses blessures aussi mieux qu'il le pouvait avec ses mains attachées, j'observai la pièce dans laquelle nous étions. C'était un cachot tout ce qu'il y avait de plus banal. Le plafond était bas et le lieu humide. Le sol était dallé et le peu de lumière qui nous parvenait venait des murs recouverts de fissures et de mousse. La seule chose qui nous empêchait de nous échapper était la grille, qui était recouverte de rouille et semblait très peu tenir en place, bref nous étions dans un lieu clairement délabré. De temps en temps des soldats allaient et venaient pour surveiller nos faits et gestes. Dans les cellules environnantes, on voyait toutes sorte de peuple: des gaulois, des grecs, et je crus même reconnaître un romain. Nous n'attendions que l'heure où nous seront en audience et seule les gouttes d'eau en souffrance brisaient avec une clameur l'agonie du silence. Je murmura tout doucement à Androclès:
On pourrait s'en aller rapidement. La porte semble bien endommagée. C'est notre seule échappatoire étant donné que la clef que j'ai subtilisée au gardien s'est cassée quand je l'ai prise. Qu'en penses-tu?

Mais il était idiot ce huns! Il me demandait si je voulais partir. Ba nan! je vais rester ici à crever! c'est tellement plus drôle! Nan sérieusement il en a d'autres des comme, ça???
Seulement pour ne pas qu'il me laisse tomber je lui offrit un sourire et je lui répondis:
Mais quelle merveilleuse idée! Tu es vraiment intelligent! Qu'est ce que je ferais sans toi??
Il me détacha, et nous enfonciâmes la porte qui était déjà très fragile. Et nous voici dans les couloirs du donjon. Et comme dans tout les donjons, c'est sombre, c'est moche, on s'ennuie et ça pue! génial! Enfin, un monstre haut de 5 m nan 4m bon 3 mètres se dressa devant nous.

Hum il m'a semblé ironique ce petit grec ... peu importe. En face de nous un monstre gigantesque se dressait devant nous avec son énorme trique à la main. Il fouettait l'air avec et semblait pas très content. Je n'attendit pas longtemps et je me jeta sur lui. J'évitais ses coups qui étaient très lent et je glissa entre ses jambes, tout en sortant mon épée. Je la lui planta dans l'épaule et rata de peu sa gorge. Mon épée s'enfonça sur environ 30cm et la bête, furieuse, se mit à remuer violemment, m’éjectant ainsi de son dos. Je ne pus récupérer mon épée qui était toujours plantée dans le monstre. Celui-ci justement était toujours aussi furieux et s'agita encore plus si bien qu'il finit pas casser l'épée en la fracassant contre un mur dans un bruit épouvantable.
Mince mon épée! dis-je
Le monstre se tourna vers moi, les yeux bouillonnants de haine et de rage. Il ne me restait plus qu'une dague de 30cm pour combattre un monstre de 3m de haut ... néanmoins il avait du mal à frapper à cause de son épaule blessée qui nous laissait une plus grande marge de manœuvre. Il fallait que j'atteigne son cou car c'était le seul moyen de le tuer avec ma petite arme ...
Je me rendis compte qu'Androclès n'avait pas bougé. Je lui hurla:
Tu viens m'aider oui!?

Bon il fallait que je bouge. L'immense bestiole m'avait tout simplement pétrifiée de peur. Je saisis mon épée et je la lança à Absalom, je n'en avait pas besoin pour le moment. Je saisis mon arc et banda une flèche. L'arc était mon arme de prédilection, j'adorais cette arme. Je rata son oeil mais toucha le monstre sur justement son épaule blessée mais comme elle était blessée cela lui faisait mal mais c'était aussi pas très utile dans l'avancement du combat.
Je vais la distraire avec mes flèches! Essaye de trouver une ouverture et de le mettre à terre, je m'occuperais du reste! d'un hochement de la tête il me montras qu'il avait compris.

Faire tomber le monstre... Plus facile à dire qu'a faire! Il devait peser dans les 28 quintaux tout de même!
Il me fallait une solution ... J'esquivai ses coups difficilement et envoyant sa main juste à côté de moi j'eus une idée. Je cria à Androclès:
Tiens-toi près surtout il va bientôt tomber!
J'attendis qu'il me ré-attaque. J'esquivai, et je lui trancha sa lourde main. Ses mouvements étaient très lents, et cela me laissai une grande marge de manœuvre pour attaquer son bras. La bête désarmée et sanguinolente poussa un hurlement de douleur. J'en profita pou passer dans son dos, et je détacha ma ceinture pour lui attacher les pieds. Cette entreprise était dangereuse et j'eus trois doigts broyés sous le poids de la bête. En effet, attacher les pieds d'un monstre en furie est extrêmement difficile. Je n'eus plus qu'a le pousser et il s'écroula lourdement sur le sol avec un vacarme incroyable.
Je hurla à Androclès:
Vas-y je le tiens finis-le!

Je me précipita alors sur le colosse,et je lui planta deux flèches dans la cervelle. Cependant il se servit de ses dernières forces pour detruire le sol et nous faire chuter vers les entrailles obscures du mystérieux donjon. Avec mon extrème intelligence j'en déduis que si nous continuons à une vitesse de 50km/h comme nous le faisions et que le sol qui se situait à aproximativement 150m était en mabre on allait mourir.J'expliqua tout à Absalom avant de dire:
Bon on fait quoi?

50... 150...
Peuh! si on ne fait rien on va mourir de toute façon! Je regarda la paroi contre laquelle nous dégringolions.
Il était fait de roche composé de grès dunaire, qui semblait plutôt fragile car parsemé de longues fissures. La seule chose qu'il me restait à faire me vint à l'esprit. Je dis donc à Androclès:
On a pas le choix. On va attendre d'être proche du sol et je planterais ton épée et ma dague dans les fissures du mur. Cela devrait atténuer celle-ci. On pourrait s'arrêter maintenant mais on est encore trop loin du sol. Maintenant c'est quitte ou double. Veux-tu tenter d'affronter la mort en face petit homme?

petit homme? Nan mais il se prend pour qui lui? enfin bon.....il avait une idée c'était déjà pas mal. Il prit mon épée et un peu avant le sol il l'enfonça dans la pierre cela ralentit notre chute mais cela ne l’arrêta pas nous étions trop lourd seulement nous nous écrasâmes sans trop de dommage grâce à sa ruse incroyable.
La porte est par là! suis moi! Il ne me suivi pas, il voulait plus d'or, de baston, de gloire, il alla dans la direction opposé et moi comme un abruti ba....je le suivis.

Ahaha! enfin quelque chose d’intéressant! Je fonçais comme un dératé dans les couloirs sombres en agitant mon arme dangereusement. Nous y rencontrâmes quelques soldats que j'occis sur le champs dans une frénésie meurtrière.
Ahahaha! Voila quelque chose de drôle! je veux absolument savoir ce qu'il y a au fond de ces couloirs! criais-je.
Je continuais à courir et je vis le grec à mes talons.
Suis-moi! Je sens qu'on va bien s'amuser! lui dis-je.
Nous commençâmes alors à rencontrer des bêtes étranges, comme un lapin armé de griffes et de dents pointues, et muni d'une queue de scorpion, un chèvre qui possédait des cornes de rhinocéros et des ailes et même un cheval qui avait les pattes et la crinière d'un lion, avec le lot de griffes et de dents qui va avec. J'étais un peu déconcerté par ces étranges créatures, et Androclès le semblait également. Soudain je m'arrêta et Androclès faillit me rentrer dedans. Sur le sol une ombre énorme se dessina ...

Je ne me souviens même plus de ce que j'ai ressentis quand je me suis retourné, tout ce que je sais c'est que c'était pas cool. Un énorme monstre,style cyclope adulte de 300kg était derrière nous avec une massue...non un arbre et il s’apprêtait à nous aplatir. Je veux pas mourir maintenant!!!! Je me lança sur lui et je lui planta mon glaive dans le pied. Je sais pas si vous avez déjà marché sur une punaise ou une aiguille mais là c'est pareil même conséquence. Il s'est mis à sauter partout menaçant de faire écrouler l'étage. Encore!!!!! J'en avait marre de tomber! Et c'est alors que Absalom se jeta sur le géant.
Mais t'es malade????Il fait 5mètres!!
-Et alors? me repondit-il.
Mais il est complètement taré ce type!!!!

-Nous n'avons pas d'autres choix que de l'attaquer! si nous fuyons, il nous abattra par son allonge. Tu n'as pas d'arme à distance? Son oeil est son seul point faible. Moi je vais viser les jambes pour lui faire perdre l'équilibre. VITE!
Sur ce, je commença à courir autour de lui en lui donnant des coups d'épée dans les genoux. Mais la bête ne semblait pas souffrir. En effet il avait des protections au niveau des genoux. Je fis alors le tour pour les lui enlever, mais en arrivant derrière, je m'aperçus que le cyclope avait une queue de singe. Mais que ce passait-il donc céant? Le cyclope bougea ça queue, qui me projeta avec une violence inouïe contre le mur. J'étais complètement sonné, et le cyclope en profita pour se ruer vers Androclès ...

De quoi? une queue? mais c'est n'importe quoi ce donjon!!!!! Toujours est-il qu'Absalom était encastré dans le mur...... Il m'avait demandé une arme à distance, j'étais assez habile à l'arc mais bon je m'en servais surtout pour chasser mais mon épée étant sur le sol, je n'avais pas le choix. Je pris donc mon arc et pris une flèche que je lança dans l'oreille du géant....Absalom ouvrit un peu les yeux et remarqua le magnifique coup...
Bien joué!
Je n'osa pas lui dire que j'avais visé l'oeil. Je me concentra à fond et réussi à lui enfoncer une flèche dans l'oeil. Il vacilla et s’effondra sur le sol. Tout le donjon trembla alors. Absalom sortis de son mur et commença à fouiller la bête. Il trouva une petite clef et un sac de diamant. Quant à moi, je me contentai de récupérer mes flèches moi ce que je cherchais ce n'était pas vraiment la richesse mais l'expérience,l'aventure,le combat,les armes,etc....Avant de repartir je nota toute les caractéristiques de la bestiole, fis un rapide croquis ( j'ai toujoirs été assez fort en dessin) et pendant qu'Absalom se reposait je regarda toute la bête dans son intégralité, cette bestiole n’existant pas dehors et n'étant référencé dans aucun bestiaire je décidai de le noter pour un être le premier à l'avoir découvert. Cette découverte pourrai bien me rendre plus riche et plus connus que tous les guerriers qui aurait détruit une armée.
Et c'est ainsi que nous continuâmes dans ce couloir sombre vers les entrailles de la tour vers une susceptible salle au trésor.....qui semblait vachement loin et plein d'embûches.

Après avoir vu Androclès gratter son papier à toute vitesse avec sa plume, nous sommes entré dans le couloir et avons marché au moins deux heures. Mais nous ne voyions toujours pas sa fin. Néanmoins, nous entendions des bruits qui s'intensifiaient à chaque fois que nous avancions dans le lieu.
C'est vraiment étrange comme endroit. D'un coup il n'y a plus de bestioles bizarres. Sérieusement, je ne sais pas ce qui se passe ici, mais c'est très louche, dis-je à Androclès.
Et nous continuions à avancer. Au bout d'une heure, toujours pas de sortie.
C'est impossible que ce tunnel soit aussi long. On serait déjà au-dessous de Rome à ce moment même. Qu'est-ce que les romains ont bien pu faire céant?
Soudain, en marchant, nous aperçûmes une ombre dans le noir. Nous arrivâmes assez près pour distinguer vraiment cette ombre. C'était un homme. Il était posté là et attendais, il nous regardait. Il avait l'habit d'un légionnaire, mais semblait modifié au niveau des couleurs et était plus sombre. D'un coup, sa voix rauque retentit dans le couloir:
Eh bien? Enfin des visiteurs! Mon attente fut longue, mais enfin des adversaires qui semblent être à ma hauteur!
Qui es-tu?,lui demandais-je.
Il ricana et nous dit:
Si vous me battez, je vous dirais tout ce qui se passe ici.
Soudain il se rua sur moi et me projeta avec une incroyable violence d'un coup de paume, dans les airs. Il fonça ensuite directement et avec une vitesse incroyable vers Androclès!

Cette homme venait de projeter Absalom qui s'écrasa contre le mur, puis ile fonça vers moi a grande vitesse, j'essaya de m'écarter mais ma jambe droite dut fauché au passage et je m'écrasa sur le sol. Il prit son épée et tenta de la planter dans mon dos mais Absalom fut plus rapide, il para le coup puis d'une droite dans la mâchoire fit valser notre adversaire sur le mur opposé. Il m'aida à ma lever. Visiblement ma jambe n'était pas cassée mais elle me faisait très mal. Il fallait agir vite parce que sinon nous n'aurions bientot plus de force pour continuer ou même pour survivre et cet homme paraissait si sur de lui.....
Paniqué je dis à Absalom: Qu'est ce que l'on fait? On le bat ou on s'enfuit? Je savais bien ce qu'il allait dire et je pensais la même chose néanmoins je lui demanda quand même. Il tira son poignard et le lança vers notre adversaire. Le combat pouvait enfin commencer.

Cet homme était incroyablement rapide et puissant! et le coup que je lui ai mis dans la machoir ne l'a même pas sonné. Mais qui est se surhomme? Je n'ai jamais entendu parlé de romain aussi puissant! je ne pouvais même pas le toucher. Il avait une agilité incroyable, mais qui était-il! On voyait juste son sourir se dessiner sur son visage.
Mais il va arrêter de bouger ou quoi! Il est pas humain lui! dis-je
Je voyais Androclès épuisé et l'ennemi n'était même pas essoufflé.
On va devoir trouver un autre moyen, on peut pas continuer comme ça! continuais-je.
Il nous fallait absolument une idée...
Bon... on va devoir improviser dis-je.
Sur ce je chuchota à Androclès et je lui demanda:
Tu as compris le plan, on y va?

Je pris mon arc et commença à lui lancer des flèches dans le bras. Comme prévu cela ne lui fit rien mais cela suffisait à le mettre en colère. Il fonça vers moi. pendant ce temps là, Absalom avait repéré un petit escalier qui monta pour arriver sur un étage supérieur d'où il sauta sur le chandelier présent au plafond. Celui-ci se détacha et s'écrasa sur le monstre dans un fracas assourdissant. Alors je lui décocha deux flèches dans chaque jambes suivis de trois estocades dans les genoux. Le monstre tituba et s'écrasa en face de nous. Alors Absalom sauta sur la tête du monstre, lui plantant son épée dans la cervelle. Le monstre émis alors un râle terrible avant de trépasser. Le plan avait marché et nous sortâmes victorieux. Absalom et moi decidâmes donc d'explorer l'étage supérieur où la barbare avait crus voir quelques petites salles étranges.

Nous continuâmes donc de marcher dans les couloirs sombres de cet étrange endroit, et nous retombâmes sur les salles étranges. Que de choses étranges! Sur les murs, il y avait moult bibliothèques, et portraits de choses diverses. De nombreuses tables y étaient disposées, et su celles-ci des bocaux remplis de choses étranges étaient posés.
Cet endroit est vraiment très étrange. Je n'ai jamais rien vu de tel en ce monde. Ces bocaux remplis d'insectes et autres animaux ... je n'aime pas ça.
Ils continuèrent à arpenter ces salles et y trouvèrent des choses de plus en plus étranges. Soudain, le barbare s'arrêta, et stoppa Androclès, et lui dit:
Attends, j'entends des bruits venant de l'endroit où nous sommes venus. Nos "exploits" ont du être découverts, avec tous le vacarme que nous avons provoqués. D'après les bruits, ils sont plusieurs. Si nous restons ici, nous allons passer une sale quart d'heure. Que fait-on maintenant?