Demande de mercenaires 1 [terminé]

J'écoulais mes journées sans me soucier de mon pécule qui s'amenuisait de jours en jours.
Un jours où il ne me resta tellement peu d'or que je ne sentait plus ma bourse, je compris qu'il était grand temps de trouver un travail.
Pour un mercenaire, il était facile de trouver du travail en pays barbare, ce n'était certainement pas ça qui manquais,mais malheureusement il est vrai que ma paresse prime en toutes situations, du-moins, tant que mon orgueil reste intact.
Je me dirigeais donc vers le panneau d'affichage local où toutes les demandes de travail "particulières" étaient grossièrement étiqueté.
Il s'agissait de mon endroit de prédilection : c'était l'endroit où l' on pouvait trouver du travail le plus rapidement.

Une demande suscita immédiatement mon attention : car la récompense était tout simplement énorme, un chiffre
avec tellement de zéros mis bout à bout qu'il me faisait tourner la tête.
Il s’agissait ici de récupérer une amphore à un très riche patricien romain.
Mais qu'importe la mission le seul chiffre de la récompense suffisait à m’emmener jusqu’à l'autre bout de l'empire romain pour tuer chuck norris tel un singe défonçant un mur dans un zoo avec un arabe gros et borgne.Et c'est peu dire.
Une telle somme n'alerta naturellement pas ma conscience,vu les capacités limitées de ma réflexions ce qui est bien connu.
Pour mener à bien cette quête et empocher le pactole,je pris soin d'embaucher le plus fourbe,le plus machiavélique et le plus avare de tout les voleurs barbares qui était à ma dispositions sur le panneau d'affichage :
il se prénommait Absalom.

Ce gros benêt de barbare est venu devant le panneau d'affichage, et ma réputation de voleur m'ayant précédée, il me demanda de l'aider à accomplir une quête. Au début je lui dis:
-Je ferais pas équipe avec toi.Je fais mes missions seul et c'est très bien comme ça. Quand soudain je vis le papier de la mission, qu'il avait dans les mains, ballotant sous l'effet du vent des steppes. Une somme astronomique! je ne pus résister à la tentation et je lui dis:
Mais si tu insiste, camarade, je suis d'accord pour t'accompagner.Plus y a de barbare plus on rit!. Avec un peu de chance, il ne sait pas compter, et je m'en mettrais plein les poches!, me dis-je. De plus à Rome ce n'est pas les richesses qui manque, et si cet idiot sait rester calme,on ressortira de Rome avec l'amphore sans aucun soucis. Et au pire on se battra contre quelques-un de ces romains incompétents et faibles! Nous partîmes donc sur le champs pour rejoindre Rome en détroussant quelques passants des environs. Le soir après avoir manger un sanglier sauvage, nous dormîmes à la belle étoile, et je rêvais aux richesses que j'allais amasser, sans me soucier de mon nouveau compagnon. Soudain je me rendis compte que le montant de la récompense était trop grand pour qu'aucun piège ne soit tissé(peut-être que je suis plus intelligent qu'un barbare basique, mais j'en suis quand même un!).
Je me suis directement dis qu'un allié des romains aurais put poser cette annonce pour nous tendre une embuscade. Néanmoins je n'en étais pas sur. C'est pour cela que je décida de quand même y aller, mais cette fois-ci , je prépara un plan au cas ou ...

Je me promenais dans la ville quand deux barbare vinrent me parler. Ils me demandaient de l'aide pour une espèce de quête, il avait besoin de moi parce que j'était dans cette ville depuis longtemps et que je connaissait tout le monde. J'acceptai avec enthousiasme, a vrai dire je manquais cruellement d'action. Bon faut tuer qui??? Il me répondirent qu'il ne fallait pas commettre d'assassinat sauf si c'était nécessaire mais que ce n'était pas le but de la mission. Je les emmena chez moi pour discuter de la mission, du plan et bien sur du partage de la récompense. Nous nous mirent d'accord sur 33% chacun ce qui était logique. Reivax qui était le premier à avoir vu la récompense, se proposa pour être le chef de groupe et de prendre 34%. Étant donné qu'Absalom et moi nous nous en fichions royalement, la proposition fut acceptée.
Alors en avant mes amis! Je leur montra un plan de la maison du politicien avec les pièges et les gardes. Le chef de groupe prit alors la parole.

Les 34 pourcent du butin firent évidemment plaisir à notre barbare

Celui-ci étudia la carte d'un bref coup d’œil, et en établie un bref pronostique :
il montra Androclès du doigt :
"Toi tu t'occupera de la carte, tu sera placer à l'avant, et tu nous indiquera la direction à suivre pour éviter les pièges". Il n'était en effet pas assez intelligent pour s'en occuper.
Il frappa ensuite son point contre son torse se désignant ainsi
"Moi, je m'occupe des garde et je sera la principale force de frappe dans cette affaire, je serait placé au milieu car le grec sait ce défendre !"
Qu'en t'a toi, le voleur, Tu tachera de repérer l'amphore dans cette excursion, si tu l'aperçoit, avertie nous.Tu sera bien entendu placé a l'arrière comme tout tes congénères.(ce qui est bien connu chez les voleur).
"En cas de litige ou de panic, c'est moi qui donnera les ordres à suivre, et il va de soit que l'on de discute pas de mes ordres .
Compris !!!"

Les deux autres compagnons furent déconcertés par ce discours, mais n'osèrent pas répliquer.Car le barbare bénéficiait d'argument "percutant". Mais surtout aussi parce qu'ils voulait leur part du magot.
Quand au voleur au voleur, tout ce qu'il désirait c'était l'argent et il était près à ce faire commander pour une telle somme.

Le barbare était peu être stupide mais d'un naturel prudent, ainsi si jamais l'un de ces compagnon lui faisaient faux bon, il serait près à riposter sévèrement.

Surtout qu'il surveillait déjà leur comportement, et testait leur réactions.

Pour lui si jamais le test s'avérait concluant, il repartiraient sans doute en mission, car après tout, ils constituaient une assez bonne équipe.

Il se dirigèrent ensuite vers la demeure du "riche patricien romain", guidé par le grec enjoué par cet après midi d'été.

Me faire diriger, moi? Peut-être après tout. Mais je ne renonce en aucun cas à ma fierté. Cet idiot nous dirigeant, ce sera très vite le bain de sang. De toute façon on laissera ce grec s'occuper des tâches ingrates, et on me réserve le plaisir de m'occuper du vol! Occasion rêvée de me remplir les poches. Après tout nous allons chez un riche patricien! Cela n'empêche... quelle idiot ce grec, d'avoir mis l'autre en tant que chef. Je n'osa rétorquer à l'autre Hun, car il est surement plus fort que moi, mais surtout il ne m'a pas donné de tâche salissant ma fierté de Hun. Nous nous dirigeâmes donc vers la maison du patricien. Puis je fis signe pour arrêter le cortège. Je dis au grec:
C'est là que tu rentre en scène petit homme. Nous sommes les ennemis de Rome et nous ne devons surtout pas nous faire remarquer. Et ne t'avise surtout pas de nous faire un mauvais plan. Il nous faut un plan et tu t'y colle.
Sur ces mots j'attendis une réponse du grec en espérant qu'elle nous satisfasse. Quand même un barbare en colère c'est pas commode! Le fait que ce grec veuille nous aider alors qu'il est l'allié de ces couards de Romains ne m'inquiète pas outre mesure(Ben oui je suis un Hun quand même!)J'ajoutais également:
Expliques-nous ton plan et nous repartons.

Et c'est ainsi que je leur exposa le plan.
Alos tous d'abord je vais aller prendre des uniformes de soldats romains que vous enfilerez, vous serez ainsi moins reconnaissable. Ensuite nous irons à la demeure du patricien, nous l'assomerons. Nous n'aurons rien à craindre de s gardes qui nous prendrons pour des soldats. Nous prendrons ensuite tous ce qu'il y a de précieux. Si il y a des soldats qui nous attrape ou nous poursuivez, laissez moi m'en occuper et ne faîtes rien.
Des questions?

Après avoir fait un signe négatif de la tête, nous reprîmes notre avancée dans les ruelles sombres de Rome.
J'arrêta Reivax sans qu'Androclès ne s'en rende compte et je lui dis:
Si jamais il y a un problème pendant que je vole l'amphore, ne laisse pas ce grec s'en sortir indemne et avertis-moi directement. Nous repartirons ensuite avec l'amphore le plus discrètement possible et les richesses seront pour nous!
Nous rejoignîmes ensuite Androclès et notre périple continua.
Soudain, notre groupe s'arrêta et, je vis un romain qui ne tarda pas à dire:
Halte qui va là!
Cette fois-ci, ça sentais le souffre. Si cela ne tenait qu'à moi ou à Reivax, le romain serait déjà mort avant qu'il ne donne l'alerte. Mais Androclès était là. Peut-être à t-il une idée pour que l'on ne soit pas obligé de faire un gros raffut. Tout cela ne tenais qu'a lui.

Je suis Androclès, général grec, gardien d'Athènes et mercenaire au service de l'Empereur Julius Paulus Marcus. Je suis en patrouille.
Il me montra les deux barbares qui étaient avec moi.
Eux ce sont mes amis.
Il me salua et nous laissa passer.
Il semblerait que tous le groupe est retenus son souffle mais aussi ces armes. D'un côté, je venais de sauver la vie à ce romain....

La chance ne fut pas avec nous, mais bel et bien avec ce romain. Je dis à haute voix:
Dire que je m’apprêtais à lui trancher la tête... Heureusement pour lui qu'il est stupide tout de même. Ce tour ne marchera surement pas à tous les coups. De plus ils nous ont remarqué. Après le vol de l'amphore, nous et donc tu sera le principal suspect dans cette affaire héhé...
Je fis du bruit avec les pièces que je venais de voler au romain et nous passâmes dans un quartier défavorisé de Rome.
Jamais rien vu d'aussi sinistre héhé, me dis-je.
Nous venions de nous débarrasser de plusieurs romains qui patrouillaient (gentiment), et depuis que nous sommes entré dans cette zone, nous n'en avons plus croisé. de part et d'autre des carrefour, il y avait des gens, plus sinistres les uns que les autres. Cet endroit devait être une zone non surveillée par les légions romaines, et devait donc contenir des activités illégales telles que le vol ou agressions en tout genre. Mais où donc nous emmène ce grec? Un raccourcis? pour éviter qu'on ait à éliminer 2-3 romains?
Plus loin, les rues délabrées étaient occupées par une bande de types louches qui agressaient un autre type. L'un des membres du groupe sortis un gros poignard et il dit :
Ce faible vaurien n'a rien. Il ne mérite pas de vivre dans ce monde!
Il enfonça lentement son poignard dans le ventre du malheureux qui poussa un hurlement de douleur. Il s'effondra au sol et les membres du groupe se mirent à rire. Les 6 membres du groupes entendirent nos pas. Ils nous fixèrent du regard, mais nous ne les regardions pas. Quelle perte de temps ces types. Irrité, le chef du groupe chuchota quelque chose à l'oreille de ses compagnons, et une fois que nous les ayons dépassés,ils se ruèrent sur nous. La bataille était enclenchée. Le premier, arrivas par derrière sur moi. Dès que je le sentis assez proche de moi, sans me retourner, je lui donna un coup de coude puissant dans le ventre. Ne pouvant plus respirer, il s'écroula à genoux. Je me retourna vers lui et j'attrapa son crâne, je le souleva, lui fis décoller les pieds du sol,et je lui dis:
Vous vous attaquez à nous bande de faibles couards! Venez donc en enfer! Puis d'un coup précis et puissant de la main, je lui brisa la nuque. Les autres qui nous avaient encerclés, nous regardèrent l’œil mauvais. Soudain celui qui semblait être le chef du groupe hurla:
Tuez-les!
Deux des voleurs se ruèrent sur Androclès, deux autres encore sur Reivax, et enfin le dernier sur moi.
Malgré cette attaque qui semble avoir été organisée à la va vite, il y avait un semblant d'organisation puisqu'ils avaient répartis leur membre de leur groupe de telle façon qu'on ait chacun 2 personnes à combattre. Le chef lui, restait en retrait et souriait d'un air satisfait. Mais la bataille ne faisais que commencer! Reivax et Androclès avaient encore deux ennemis à combattre!

Je ne compris pas bien ce qui venait de ce passer mais bon...
Je vis seulement deux petits hommes ce diriger vers moi à la force de frappe ridicule.
Visiblement ils ne c'étaient pas entrainés assez souvant comme chez nous.
Bénéficiant d'une bien meilleure allonge, je pris les deux par le crâne, et je les entrechoquèrent violemment.
Il s'agissait la de ma bien célèbre technique appelé : le choc des buffles, (à la one piece)
Ils furent mis KO tout simplement et très facilement.
Pendant ce temps je regardait l'air serein, les membres de ma future compagnie se démener face à de misérables petit cloporte qui bloquait notre passage.Le barbare ce débrouillait bien visiblement, il fera un bon second.
Dommage que nous pussions pas en dire autant du grec ...Il semblait attaqué de toute part et ainsi totalement désempare.Lui aussi il ne c'est pas assez entrainé...
Finalement Absalom su se défaire de son adversaire et Androclès en tua même un.
Tout de même pour un grec, il se défendait pas mal, surtout que lui il avait deux adversaires à combattre.
Le chef des voleur décida enfin a ce battre il semblait (Contrairement aux autres) assez puissant et rapide. Il effectua une attaque surprise sur le plus faible d'entre nous (comme font tous les voleurs): Androclès dit le grec.
Il semblait à présent en bien mauvaise posture...Je pensait qu'il aurait bien du mal cette fois-ci
Je l'avertit quand même "Le grec derrière toi !"
Il se retourna tout comme Absalom et ...

Je me retournai attiré par un cri de Reivax et je me pris un couteau dans l’œil. Je poussai un cri de douleur. Je m’écroulai par terre, je repris mon épée, le fis tourbillonner pour lui planter dans la jambe, il prit la sienne, la plaça en hauteur pour l'enfoncer dans mon corps faible, quand il se courba, pour s'écrouler lui aussi.....dans son dos, l'épée d'Absalom qui dépassait. Les deux barbares m'aidèrent à me relever, mon œil était gravement blessé mais ce n'était pas très grave, nous devions continuer et arriver au mur avant la nuit. Les bandits disposaient de chevaux, de vivres et de médicaments. Après avoir panser nos blessures et prit une petite collation, nous nous remirent en route. Alors que le soleil se couchait, le mur était en vue, nous nous arrêtâmes dans une petite forêts pour attendre la nuit, qui jouerait en notre faveur pour escalader le mur.

Tu devrais faire attention à toi petit homme. Surtout avec des filou d'une telle espèce. Néanmoins ton œil n'est pas perdu. Tu as eu de la chance cette fois-ci. Malgré tout tu semble vaillant, tu peux te sentir fier d'avoir cette blessure.
Sur ces mots je fis signe que l'ont devrais peut être repartir. D'après le grec, nous n'étions pas très loin de la maison du patricien. Ce qui gêna le plus dans cette fin d'expédition, c'était la blessure d'Androclès qui le faisais remarqué parmi les légions romaines. Bien sur moi et Reivax furent les premiers suspectés, et malgré le fait qu'Androclès niait tout en bloc, ils avaient envoyé quelqu'un pour nous suivre dans l'ombre. Ce n'est qu'au bout de quelques minutes que je remarqua cette présence. Je fis signe à Androclès, et d'un mouvement de la tête il me fis comprendre qu'il le savait depuis le début. Nous devions nous occuper de cette gène mais pas avant d'avoir récupérer l'amphore...nous nous hâtâmes donc de nous diriger vers la maison du patricien. La nuit régnait. Un souffle froid soufflait autour de nous et les ruelles commençaient à se peupler de romains, à l’œil méfiant, qui plus est avec deux Huns. A la vue du nombre impressionnant d'hommes, je chuchota:
Cette fois-ci, il semblerait que nous ne soyons plus très loin.
Mais nous étions toujours suivis ...

Nous devions faire quelque chose, je parlais à voix basse pour expliquer le plan. Nous nous mîmes à courir. Arrivé à un embranchement, Absalom et moi prenions à droite pendant que Reivax prit à gauche. Il monta discrètement sur les toits, pris l'espion par derrière et l'égorgea, je n'aimais pas trop cette technique mais au moins il ne parlera pas. Et c'est ainsi que nous sommes arrivé devant une immense villa. Et c'est là que tout devint compliqué....

C'était donc ça! Autour de cette immense villa, une cinquantaine de romains gardaient les multiple entrée de cette immense demeure. Aucune entrée n'était libre, et de visu, rien ne nous permettais de rentrer là-bas, et encore moins en ressortir! C'était une véritable mission suicide. Heureusement, malgré la volonté d'Androclès de partir la queue entre les jambes, moi et Reivax avions fait tout ce chemin et ce n'était pas pour rien! Mission suicidaire... tant mieux ! Car nous ne somme pas saint d'esprit il faut croire!
J'exposa au membre de mon équipée mon plan:
Vous deux montez la garde. Je vais m'attaquer à un garde isolé, cacher son cadavre et m'introduire dans la villa. Je récupère l'amphore, quitte à assassiner des gens dans la maison. Je ressort et s'en va le plus vite possible voir le commanditaire. Je pense que nous n'avons pas d'autre choix.
Sur ce, en un éclair, je disparu dans l'ombre. Je m'approcha d'un garde isolé, et sortant ma dague, je l'égorgea comme un lapin. Je pris son cadavre, et le cacha dans un buisson à côté. Je crocheta la porte, elle s'ouvra lentement, et je disparu une seconde fois, et cette fois si dans l'ouverture de la porte.
Du côté d'Androclès et Reivax, quelque chose d'imprévisible se produisit...

Nous attendions Absalom, bien sagement comme il l'avait dit lorsque soudain....le politicien arriva suivit de plusieurs gardes.....Nous ne savions pas quoi faire lorsque Reivax fit la plus grosse bétise de toute sa vie, il attaqua. Les soldats le prirent, ils étaient une bonne vingtaine à lancer des flèches mais ça ne le chatouillait même pas.
On fait quoi? Il ne me répondit pas. Je sautai sur un soldat, je le tua d'un coup, j'en devint presque malade quand soudain je vis sur son bras un long serpent argenté, ce signe me rappela de très vieux souvenir a la kung fue panda 2 (voir RP flash back clio), c'étaient les membres de ce groupe d'assassins romains qui détruisaient les villages au nom de l'Empire, sauf qu'il était avec le chef du Sénat, je réfléchissait donc longuement avant de parvenir à la conclusion que les Romains étaient des brutes qui massacraient des villages entiers pour agrandir leurs territoires. Alors je m'élança et j'en tua 4 grâce à ma technique spéciale, le tourbillon de lames. Et c'est alors qu' Absalom arriva. Nous tenions maintenant le politicien et les barbares voulaient rentrer mais je ne voulait pas avant de savoir toute la vérité....

Je revenais à peine quand je vis le grec estoquer ces soldats en un coup. Je me dis quand même :
D'où on donne un nom à ses techniques, et en plus de les hurler à haute voix en pleine bataille? Quelle bande de débiles ces grecs.
Cela n'empêche que s'en était fini du patricien, mais néanmoins, Androclès semblait le connaître. Une sorte de rage intérieure semblait le ronger, quand soudain des romains arrivèrent encore. Je dit a Androclès:
Continue ton affaire, nous nous occupons d'eux.
Ils étaient nombreux, et ce n'était qu'une question de temps avant que Rome entière soit au courent de ce vol! Moi et Reivax laissâmes donc Androclès régler ses comptes avec le patricien, et nous commençâmes la bataille. Quelques romains se jetèrent sur moi, et tenant toujours l'amphore dans mes mains, je la jeta en l'air directement sur un romain. Déstabilisé, il rattrapa l'amphore maladroitement, et je l'estoqua. Trois autres continuèrent leur attaque, imperturbables. Je récupéra l'amphore, et je lança le cadavre de l'homme fraîchement abattu sur un autre romain qui se jetait sur moi. Il chu sous le poids du cadavre, et je le finassa en pourfendant le cadavre et celui qui était en dessous. Plus que deux à abattre. Ils m'entourèrent, et firent un signe de la tête qui signifiait vraisemblablement le début de l'assaut. Ces deux-là étaient plus agiles que les autres, et je me retrouva vite en difficulté. Combattre sur deux flancs était trop dur. J'attendis le moment opportun, et après avoir esquivé difficilement leur dernière estocade, ne pouvant plus esquivé désormais car ils m'avaient mis dans une position difficile, j'attrapa leurs épées, et je les dévia pour éviter de me blesser d'avantage. Profitant de leur confusion, je pris mon poignard, et je le plantât dans le pied d'un des romain. Il poussa un hurlement de douleur, et encore plus quand je le poussa, déchirant ainsi son pied sanguinolent. L'autre continua de me charger, et, prévoyant ce qu'il allait faire, je me baissa en lui faisant un croche-pied. Il tomba sur l'autre en lui tranchant son coup. J'essuya un peu la poussière de mes vêtement, et le dernier romain se releva. Dans une dernière attaque désespérée, il se jeta sur moi avec une vitesse que je ne prévu pas. Il m'entailla un peu le torse, et à ce moment là, je lui jeta de la poussière que j'avais ramassé, dans les yeux. Aveuglé, il tituba en se frottant les yeux et je le pourfendit. Pendant que moi et Reivax pourfendions nous adversaires, Androclès, s'expliqua avec le patricien...

Après 10min de négociation, le romain mourut transpercé par ma lame. Je rejoignis mes "amis" les huns qui terminaient de faire les poches aux romains massacrés.
Bon et maintenant on fait quoi?
Et c'est ainsi que nous reprîmes la route vers le mur d'Hadrien( encore....) pour aller donner l'amphore au commanditaire et récupérer notre pognon...parce que c'était encore ce qu'il y avait de plus intéressant dans cette aventure. Nous traversions une forêt quand une étrange créature nous barra la route. Une hydre à trente têtes se dressaient devant nous.

Cette immense créature nous barrais le passage. Je me tourna vers Androclès, et je vit son regard apeuré, qui disait clairement qu'il fallait avoir peur de cette chose. Même si ce n'était qu'un grec, il fut bien courageux dans cette aventure. La peur que lui inspirait cette créature ne présageais donc rien de bon. En pleine réflexion, une des têtes du monstres s'abattis sur moi, m'envoyant planer pour finir ma chute sur un arbre.J’eus le souffle coupé, et j'ai failli m'évanouir sous ce choc d'une puissance inouïe. Néanmoins je réussis à rester lucide, et je hurla:
FUYEZ!
Cette créature était bien trop forte pour nous. Mais Reivax lui, n'avait pas l'intention de fuir. Préparant la retraite, je vis Reivax qui était près à dépecer la créature. A contrecœur, je décida de rester pour affronter la bête avec Reivax. Une des tête s'abattis sur Reivax cette fois-ci. De toute ses forces, Reivax attrapa la tête et l'immobilisa!J'en profita pour planter mon épée dans la tête de l'hydre, tout en montant par son coup, lui ouvrant en deux son coup. Arrivé à la base de toutes les têtes, je commença à planter mon épée un peu partout. Reivax , qui était parvenu à écraser la tête de l'hydre qu'il tenait et occupait les autres tant bien que mal. Le sang jaillissait de la bête, qui était devenue enragée. Elle bougeait dans tous les sens, si bien que je fini par être propulsé loin de la bête. Reivax quant à lui ne réussi pas à contenir plus de trois têtes, et avait été également propulsé contre un arbre. Moi et Reivax étions blessés, et étions recouvert de sang. Nous étions à peine rentré en combat que nous étions déjà épuisé. La situation était désespérée, et les têtes fraîchement coupées, commençaient déjà à repousser. Nous étions autrement dis dans une sale posture. Androclès avait-il peut-être une idée? Il courrait dans la forêt pour chercher du renfort quand une flèche vint se loger à ses pieds...

Cette flèche était enflammée. L'herbe commençait à brûler, alors une idée me vint à l'esprit. Je pris mes flèches, les alluma et les décocha sur les têtes fraîchement coupées..Sans savoir comment, Reivax réussit à faire s'enflammer son épée, nous fîmes de même et l'hydre ne tenit pas plus de 10min, chaque têtes coupées étaient brûlés et l'hydre ne fit pas long feu ( petit jeu de mot^^). Alors que nous étions tous essoufflés, une ombre sortis des buissons, c'était Clio ma lieutenante. Elle avait appris l'histoire du patricien et me cherchait depuis plusieurs jours. Quand nous eûmes finis de lui conter notre aventure, elle partis suivant un ordre que je lui avait donner, l'heure était venus pour moi de régler des comptes avec l'armée romaine. Je rejoindrais Clio plus tard..
Allons y!
Combien de temps pour aller rejoindre le gars?Il est où?

Cette hydre était une dure à cuire! Mais finalement, grâce à l'astuce d'Androclès nous l'avons tuées. Androclès semblait avoir des comptes personnels à régler, Et je lui demanda donc:
Vas-tu venir avec nous pour réclamer la récompense qui nous est due? Même ça ne me plait pas, tu a participé à l'aventure. Mais il me semble que tu tiens à régler quelque chose de personnel. Que choisis-tu?
Pendant que je disais cela, je me préparais un collier avec une des dents de l'hydre que j'avais récupéré sur son cadavre. Je le mis sur mon coup laissant découvrir le médaillon en or que j'avais récupéré sur un romain que j'avais tué il y a quelque temps de cela. Le fameux médaillon en or qui m'avait semblé si étrange. Peut-être devais-je le vendre ? Un bon petit magot m'attend si je le revend.
Androclès me répondit ainsi:

Nan, je continue, je réglerais ça plus tard, nous sommes compagnons, continuons ensemble!
Même si c'étaient des huns, ils avaient gagnés ma confiance et je les considérais comme mes amis. Mais peut être que ce n'était pas réciproque. Nous nous remîmes en route...Je sais pas si c'est mon imagination mais il me semble que le trajet du retour était plus rapide, peut être était-ce l’excitation? Enfin, nous suivîmes Reivax jusqu'à un petit village, l'aventure arrivait à son terme. Enfin c'est que nous croyions..enfin d'abord les drachmes!

Nous arrivâmes donc devant le panneau du début de l'histoire, devant lequel nous nous dirigeâmes vers la demeure du commanditaire. Nous tombâmes devant une très grande maison, à la porte de laquelle nous frappâmes. Un Hun richement vêtu nous ouvra la porte. Je reconnus à ses habits qu'il était très riche. Devant sa maison, un stand gigantesque était présent, et c'est ainsi que nous sûmes qu'il était marchant. Je lui tendis l'amphore, mais au moment où il comptait l’attraper, je la ramena vers moi et je lui dit:
Toi le marchant, si tu nous achètes cette amphore c'est surement que tu compte la revendre plus chère. Je veux une augmentation!
Le marchant me fusilla du regard, et semblait peu disposé à accéder à ma requête. Je fis un mouvement rapide de mon poing vers l'amphore. Le marchant s'exclama:
D'accord, d'accord! ne touchez pas à l'amphore! Tenez ces drachmes en plus!
Je récupéra les bourses qu'il sortait de son manteau, et vérifia leurs contenus. Je partagea après l'argent avec mes compagnon, et m’apprêta à m'en aller, quand soudain le collier que je portais autour du coup intrigua le marchant, qui me proposa trois bourses en plus pour me l'acheter. Je refusa, et après être sortis de la demeure, je demanda à Androclès:
Tu vois mon collier? Que peux-tu me dire sur lui? je l'ai récupéré sur un romain que j'avais tué il y a un petit moment de cela.
Ce collier sucite mon intérêt du fait que je pourrais le revendre très cher peut-être! J'attendais la réponse d'Androclès avec impatience.

Je regardais avec attention le petit collier que me montrait Absalom. Puis mes yeux s'écarquillèrent et je lui répondis:
Ce médaillon est d'une très grande valeur! Tu peux le revendre très très cher( 700 drachmes) ou alors l'utiliser, je t'explique: ce médaillon est utilisé par les grands officiers romains pour pénétrer n'importe où au nom de l'Empire. Si tu possède ce médaillon, quoi que tu fasse, jamais on ne te réprimanderas. Ce médaillon a aussi un inconvénient, si tu te bats, la milice n'interviendra pas. C'est à dire que ton ennemi même si il n'a pas le médaillon à partir du moment où il se bats contre toi, il est immunisé.
Je lisais sur le visage de mon compagnon, les calculs qui se faisait dans sa tête surement des probabilité pour arriver à faire un choix. Mais avant de donner sa réponse, une armée romaine arriva pour châtier les Huns du meurtre du patricien et de les repousser loin, très loin du Mur. Les Huns prirent leurs armes et une énorme bataille s'engagea dans le village. C'était la débandade. Nous étions nous même assaillis par les Huns et les romains. Profitant du chaos, le commanditaire de notre mission aidé d'une bonne trentaine de mercenaires, bandits et soldats en tout genre avaient emmené Absalom dans un coin sombre et s’apprêtait à lui voler le médaillon et peut être même à le tuer.
Reivax! Sur ta droite! Le barbare évita de justesse une flèche romaine qui lui déchira un morceau de sa tunique au niveau de l'épaule. Il vu Absalom, il me cria quelque chose mais le bruit de la bataille couvrait son cri. Il devait avoir une meilleur ouïe que moi car lui m'entendait.
Absalom! Il faut l'aider! Il m'adressa un signe pour me dire qu'il avait compris. Ensemble nous nous lancions à la poursuite des bandits. Nous arrivâmes à l'étrange maison du commanditaire, nous n'avions plus de voleur et donc plus de plan discrétion, deux gardes à la porte et plusieurs dizaines à l'intérieur. Nous optâmes donc pour le plan bourrin et c'est ainsi que Reivax et moi nous nous lançâmes à l'assaut de la "forteresse". Mais pendant ce temps, Absalom était au main de ses monstres qui devait lui faire subir les pires tortures pour trouver le médaillon qu'il avait cacher.

Les mercenaires m'avaient emmené dans une cave, et après que j'ai tué 5 de leurs hommes, ils m'ont assaillis et m'ont attaché au mur. Le marchant voulait absolument récupérer le médaillon, et me battaient avec leurs armes contondantes et même avec leur poing. J'étais recouvert de sang, et le marchant s'approcha de moi pour me dire:
Alors tu veux bien me dire où est le collier?
Il s'était rapproché de moi, et je lui envoya un coup dans l'entrejambe avec toute la puissance qui me restait. Il s'écroula sur le sol dallé recouvert de moisissure de la cave. Après s'être relevé, et titubant à moitié, il dit au autres:
Je vous donne 2500 drachmes chacun, je vous le laisse. Ne le tuez pas!
Et il s'en alla en ricanant, du moins autant qu'il titubait. C'est alors que je me pris une rafale de coup dans le visage, dans le ventre, si bien qu'au final, ils me cassèrent un bras. Ils m'entaillèrent lentement de leur lames. Malgré cela, ils n'auraient jamais MON médaillon! Plutôt mourir! De toute façon il me tueraient. Il restait alors 5 mercenaires pour me garder, 5 autres à l'étage, et encore 5 devant pour garder l'entrée. Cette fois-ci, il semblais que j'étais fichu!

Ces quelques jours avec Reivax et Absalom avaient fait de moi un véritable guerrier, un Huns. Et c'est avec rage qu'ensemble nous fîmes qu'une bouchée des gardes de l'entrée. La porte était fermée à clef mais ce n'était pas un problème, ensemble nous la défoncions aisément. Pendant que je la défonçait, Reivax s'occupait des gardes qui arrivaient. Comme je n'arrivait pas à la défoncer puisqu'elle était blindée, je fis appelle à toute la force que j'avait acquise pendant cette aventure et je découpa la porte comme du beurre. Reivax repoussa ses assaillants par un combo merveilleusement réussi. Nous entrâmes donc dans la maison, en courant, même l'élite des soldats ne pouvaient arrêter notre colère. Nous tranchions même les murs. Nous venions de passer un stade sur l'échelle de la force. Plus rien ne nous résistait. Reivax tranchait les soldats par dizaines pendant que je leurs faisait une tornade des lames qui les massacraient. Un cri se fit entendre dans tout le couloir. Il venait d'une porte que nous j'aperçus et que je découpa. Nous fîmes éruption et nous engageâmes le combat. Il fut d'une extrême violence. Malgré la faiblesse d'Absalom à la suite de ces blessures, il voulut se battre, il prit une épée, et nous rejoignis. Reivax tomba par la fenêtre avec l'un des gardes, et pendant qu'Absalom réglait son compte à quelque gardes peu puissant qui lui faisait obstacle devant le petit coffre de la salle, je poursuivis le dernier officier sur le toit. Mon épée était prête, tout les soirs, toutes les nuits je m'était entrainé et j'était prêt. Il se jeta sur moi, et le combat commença. Pendant ce temps Absalom luttait entre la douleur et sa soif de vengeance.